14-18 - La Terre et le Feu - Presse
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1. Versant ouest, escarpé, de la butte-témoin du Léomont, en avant de la côte de la Dolomie de Beaumont. Cliché D. Harmand.
Le monument commémoratif au sommet a été reconstruit en 1950 pour remplacer celui édifié en 1919 et détruit en octobre 1940. Il rappelle les combats qui se sont déroulés du 20 août au 10 septembre 1914, période pendant laquelle le Léomont changea de mains à huit reprises.
2. Les Éparges. 3 septembre 1917. La crête des Éparges. Vue des cratères de mines prise en avion à 200 m de haut (coll. La contemporaine VAL 203/133).
3. Zonage du front au 15 novembre 1914.
4. Troupes australiennes sur un caillebotis dans le saillant d'Ypres. Ces caillebotis étaient les seuls moyens par lesquels il était possible de passer au-dessus des bourbiers et marécages (sloughs and swamps) du champ de bataille (Mitchell Library, FL1526879, State Library of New South Wales).
5. Médaille commémorative de la Société des mines de Lens, 7 x 5cm, 1929 (collections du Centre historique minier de Lewarde, 3751). La date de 1929 est mise en parallèle avec 1852, l'année de création de l'entreprise. Pour Lens, la reconstitution s'apparente en effet à une refondation. Si le niveau de 1913 est enfin retrouvé, l'extraction a repris sur des bases techniques entièrement renouvelées. Le grand chevalement standard de Lens se révélera assez efficace pour rester en service jusqu'à la fermeture du dernier puits de la concession, en 1985.
6. La plaine de Gohelle de nos jours, vue vers le nord depuis le monument canadien sur la crête de Vimy. Le relief de la crête correspond sensiblement à la faille de Marqueffles. À l’arrière plan : Liévin, Lens et les terrils de Loos-en-Gohelle. Cliché F. Bergerat
7. Berneuil-sur-Aisne (près). 20 février 1917. Carrière aménagée : l’entrée (coll. La contemporaine VAL 251/171). Le site a été exploité sur deux étages de carrière souterraine dans les calcaires du Lutétien moyen. Le soldat pose devant une extraction des Vergelés en étage supérieur. Il domine l’entrée en cavage en étage inférieur ouvert dans le Banc de Saint-Leu. Le fort recouvrement de l’étage inférieur forme un abri sûr au cantonnement des troupes.
8. Restitution des réseaux de défense de La Main de Massiges à l’aide d’un modèle numérique de terrain et du plan directeur de Cernay-en-Dormois à 1/20 000. Dessin P. Taborelli.
9. Vue aérienne du chapelet d’entonnoirs de Vauquois. Cliché M. Godin
10. L’observatoire allemand construit avec des blocs (calcaire « glypticien » à nérinées de l’Oxfordien) provenant des ruines de la collégiale Saint-Germain à Montfaucon d’Argonne. Cliché J.-C. Porchier.
11. Le sommet dévasté de la cote 304 après l’attaque du 24 août 1917. (BDIC VAL 185/162).
12. La Chapelotte (Vosges). L'usine où était produite l'électricité nécessaire au creusement des mines. 12 mars 1917 (collection BDIC VAL 157/078). Le Conglomérat principal forme des falaises qui offrent de nombreux abris sous roche.
13. Alfred Wegener dans la base Borg de l’expédition Koch au Groenland 1912 – 1913. Cliché J.P. Koch (Archiv für deutsche Polarforschung, Alfred-Wegener Institute, NL 2 F Nr. 3). Parmi les raisons du rejet de la théorie de Wegener, il y a le fait qu'il était allemand.
14. Pierre Teilhard de Chardin (à droite) et le café du matin dans les tranchées ; Verdun, 1917 (Collections de la Fondation Teilhard de Chardin, n° 97)
15. Photographie prise sur le toit du Geological Survey and Museum (Jermyn Street) par J. Rhodes, photographe du Geological Survey, en 1912 ou 1913, montrant un groupe de géologues basés à Londres. Ceux mentionnés dans ce texte sont : H. H. Thomas (3e rang, milieu), J. A. Howe (3e rang, 4e en partant de la droite), A. Strahan (2e rang, 2e en partant de la gauche) et J. J. H. Teall (2e rang, 3e en partant de la gauche) (Collection British Geological Survey).
16. Le cratère de mine appelé Caterpillar crater à Ypres, en Belgique. D’un diamètre de 80 m et profond de 15 m, il demeure l’un des rares témoins des explosions de mines du 7 juin 1917. Cliché F. Bergerat.
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